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Création : 12/11/2010 à 06:14 Mise à jour : 01/07/2015 à 17:45

MEDIA-ACTU

L'actualité politique française A LA UNE vu et commenté par les différents médias. Du 29.06.15 au 04.07.15
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MEDIA ACTU 2015

MEDIA ACTU 2015


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#Posté le vendredi 14 septembre 2012 09:33

Modifié le lundi 29 juin 2015 06:13

Une production alimentaire suffisante qui n'exclut pas les crises dans les 10 ans - AFP

Plus de sucre, plus de gras et toujours plus de viandes. La hausse de la production alimentaire mondiale dans les dix ans qui viennent devrait permettre de satisfaire une consommation demande qui se diversifie dans les pays en développement, sans exclure le risque d'un «choc grave» sur les marchés.Une production alimentaire suffisante qui n’exclut pas les crises dans les 10 ans - AFPDans leur rapport conjoint sur les «Perspectives agricoles 2015-2014», présenté mercredi, l'Organisation des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO) et l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE, 34 pays) envisagent à la fois l'évolution des productions et celle des consommations, liées à la démographie et à la progression des revenus.
Plutôt rassurants, ces organisations anticipent des prix agricoles en baisse pour la décennie qui vient, tels les cours des céréales qui ont entamé leur décrue ces deux dernières années, en raison de l'abondance de l'offre.
Cependant, préviennent-ils, les cours restent stabilisés à un niveau relativement élevé, bien supérieur en tout cas au début des années 2000, avant la flambée de 2007-2008 qui avait provoqué la dernière crise alimentaire en date.
«Les marchés reviennent à des conditions plus normales après une période d'extrême volatilité, principalement parce que la production croît plus vite que la demande, affectée par les conditions macro-économiques mondiales et grâce à la baisse des prix du pétrole», explique à l'AFP Boubaker ben Belhassen, directeur de la division du Commerce et des Marchés à la FAO.
De fait tout concourt à peser sur les prix, à commencer par les meilleurs rendements en Asie, Europe et Amérique du Nord et la conquête de nouvelles terres agricoles en Amérique du Sud. Mais aussi un taux de croissance mondiale de 3% depuis sept ans et un ralentissement des échanges agricoles, la demande des pays en développement tendant à se stabiliser après dix ans d'envolée.
La Chine illustre déjà cette tendance, qui a réduit au premier semestre 2015 de moitié ses importations de poudre de lait par rapport à 2014, contribuant à enfoncer les cours.
Par ailleurs, les exportations de produits agricoles de base resteront concentrées au sein d'un Club des Cinq - Etats-Unis, Union européenne, Russie, Brésil, Argentine - vers un nombre d'importateurs au contraire toujours plus nombreux, particulièrement vulnérables en cas de crise chez les fournisseurs. A l'instar de la sécheresse américaine dévastatrice en 2012.
L'étroitesse géographique de l'offre accroit les risques de marché, notamment ceux liés aux catastrophes naturelles ou aux crises politico-commerciales, préviennent les auteurs pour qui «il est très probable que les marchés internationaux connaissent au moins un choc grave au cours des dix ans qui viennent».
- L'Afrique, toujours vulnérable -
«Nos différents scénarios envisagent une variation moyenne des prix autour de 15 à 20%, sans exclure que les prix puissent grimper bien plus haut», confirme M. ben Belhassen.
Alors que le rapport consacre un chapitre entier au Brésil, apte à répondre aux demandes mondiales en sucre, soja et viande, «les principaux risques associés à ces perspectives optimistes concernent les résultats macroéconomiques du Brésil, le rythme des réformes structurelles et des facteurs exogènes, dont la demande d'importations de la Chine».
Chez les importateurs, l'Afrique reste particulièrement vulnérable, constate le responsable de la FAO: «Les rendements restent très bas. Ce sont des choix politiques et d'investissements. Mais le continent risque de devoir importer toujours plus ce qui accroît sa fragilité aux chocs».
Car la demande se redéfinit surtout dans le monde en développement où la croissance démographique, même moins rapide, se conjugue à la hausse des revenus et à l'urbanisation. L'Afrique n'y échappe pas. Premier effet, la hausse de la consommation de protéines animales, lait et viandes, qui profite surtout à la volaille, la mois chère et la plus durable, écologiquement.
Ainsi, les céréales restent les produits agricoles les plus consommés au monde, avec une augmentation prévue de près de 400 millions de tonnes d'ici 2024. Mais sur la décennie écoulée, plus d'un tiers (36%) des gains de productions enregistrés étaient destinés au fourrage pour le bétail.
Les calories tirées des céréales n'augmenteront plus que de façon marginale, alors que «la consommation croissante d'aliments pratiques et pré-cuisinés entraîne une hausse de la demande de sucre et d'huiles végétales» - ingrédients de base, avec le sel, de la malbouffe: pour ces deux produits, la consommation devrait croître respectivement de +1% et de 0,85% par habitant et par an dans les dix ans qui viennent. A «plus de 95% dans les pays en développement».
 
http://u.afp.com/ZJ6G AFP
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#Posté le jeudi 02 juillet 2015 05:00

A Ibiza, les chefs Adrià et Guy Laliberté fusionnent art et gastronomie - AFP

Prenez les chefs Ferran et Albert Adrià, le fondateur du Cirque du Soleil Guy Laliberté et des artistes comme le sculpteur japonais Takashi Murakami. Transportez-les à Ibiza, dans les îles espagnoles des Baléares, agitez bien et vous obtenez "Heart", une expérience multisensorielle.A Ibiza, les chefs Adrià et Guy Laliberté fusionnent art et gastronomie - AFP"Ce n'est pas un restaurant! C'est un rêve devenu réalité", s'exclame Albert Adrià, l'un des fondateurs du projet, inauguré mardi et ouvert jusqu'à mi-septembre.
"Un rêve pour beaucoup de gens. Nous avons des techniciens du son, de l'image, des maquilleurs, des costumiers", expliquait-il à l'AFP lors de la présentation du projet.
A ses côtés, un groupe de jeunes exécutent, la tête couverte d'une capuche, une "performance" urbaine sur les rythmes d'un DJ, tandis que des invités dégustent des mets fusionnant cuisine péruvienne, mexicaine, japonaise et thaïlandaise, dans un lieu où sculptures le disputent aux vidéos artistiques.
"C'est un projet assez audacieux qui mélange trois choses qui, normalement, ne se rencontrent pas: cuisine, art, et spectacles", de danse moderne ou de concerts de groupes pop chaque jour différents, explique Guy Laliberté, ancien cracheur de feu et échassier devenu millionnaire.
"C'est totalement différent du cirque du Soleil, c'est un projet plus dans l'esprit d'Ibiza", une île qui accueille l'été une bonne partie de la "jet set" mondiale, ajoute l'homme d'affaires canadien.
L'idée a surgi il y a deux ans de la passion pour l'art et la gastronomie des frères Adrià et de Guy Laliberté, qu'ils connaissaient depuis plus de dix ans comme client de leur restaurant ElBulli, décoré de trois étoiles Michelin avant de fermer en 2011.
Takashi Murakami, dont les sculptures combinent tradition japonaise et inspiration de l'esthétique "manga", a lui aussi été convaincu par Guy Laliberté.
"Je l'ai connu il y a un an à Tokio", raconte l'artiste japonais. "Il présentait l'un des grands spectacles avec le Cirque du Soleil et j'ai pleuré d'émotion", dit-il, pendant que sur une scène une peintre travaille sur le corps d'un modèle quasi nue.
Ses oeuvres se mèlent à celles de l'Américain Dan Graham ou du Français Miguel Chevalier qui a conçu deux installations multimédias pour "Heart".
- Touche "chic" -
L'une de ses oeuvres, "Fractal flowers", projetée sur un mur immense, représente un jardin virtuel où les fleurs, en mourant, génèrent de nouvelles formes dans une transformation infinie qui, grâce aux capteurs de mouvements, interagissent avec le public.
"Parfois, je découvre des fleurs auxquelles je n'avais jamais pensé", confie Miguel Chevalier.
Sur la grande terrasse avec vue sur les yachts luxueux du port d'Ibiza, décorée comme un marché, les chefs réinventent la cuisine de la rue avec une touche "chic": ravioles de porcelet, "Olivas Heart", qui sont de petites boules de jus d'olive explosant au contact du palais, ou encore Takoyaki de tortilla de patatas (boule japonaise au goût d'omelette espagnole).
Sous les lumières tamisées de l'élégante salle intérieure, le menu est encore plus sophistiqué: les invités peuvent réaliser un voyage gastronomique dans cinq mondes - ibérique, mexicain, nikkei (mélange des saveurs d'Amérique latine et du Japon), Kaiseki (japonais traditionnel) et oriental - dans des plats présentés comme de véritables oeuvres d'art.
Un voyage réservé toutefois à certains, l'accès à la terrasse démarrant à 100 euros et le dîner avec concert et fête toute la nuit à 315 euros.
Reste que la liste de réservation est déjà quasi remplie, "Heart" n'ouvrant que 77 jours cette année, pendant la haute saison, explique Albert Adrià.
Et si le moteur "c'est l'émotion, mais aussi les individus et leur créativité, le plaisir de travailler avec les gens", "on cherche aussi le succès commercial, parce qu'il faut bien payer tout ça", admet Guy Laliberté qui a vendu une part majoritaire du Cirque du Soleil à des investisseurs chinois et américains.
Quid d'un "Heart" itinérant ? "C'est trop énorme pour l'emmener en tournée, je n'ose même pas imaginer", soupire Albert Adrià.
 
http://u.afp.com/ZJ6W AFP
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#Posté le jeudi 02 juillet 2015 04:00

Entre colère et résignation, des retraités grecs viennent chercher 120 euros - AFP

"Qu'ils aillent au diable!": en colère ou résignés, les retraités grecs sans carte bancaire se pressaient mercredi devant les banques qui font une exception à la fermeture décrétée par le gouvernement, pour leur permettre, pendant trois jours, de retirer 120 euros.Entre colère et résignation, des retraités grecs viennent chercher 120 euros - AFP"J'ai travaillé plus de 50 ans en mer, et maintenant je mendie 120 euros", se désolait à Athènes un ancien marin qui expliquait ne pas avoir assez d'argent pour acheter les médicaments de sa femme, malade.
"J'ai pris l'argent, je sais que ce n'est pas suffisant, mais c'est ce que j'avais à prendre et je l'ai pris", a témoigné à l'AFP Dyonisia Zafiropoulou, ancienne employée de la DEI, la compagnie d'électricité. "J'ai vécu l'Occupation, j'ai vécu des difficultés, et je crois qu'on va surmonter ce moment", espérait-elle.
Depuis lundi, toutes les banques grecques sont fermées et les retraits limités à 60 euros par jour, une mesure décidée par le gouvernement pour préserver le pays d'un effondrement bancaire. Mais pour les retraités qui ne disposent pas de carte de crédit ou de débit, et ils sont nombreux, près d'un millier d'établissements bancaires ont ouvert mercredi pour une durée de trois jours.
Leur priviliège s'arrête là: ils ne pourront pas retirer au guichet plus de 120 euros pour la semaine. Sachant que les banques ne rouvriront pas avant mardi, cela ne fait que 20 euros par jour: "je vais dépenser moins que ça", commente un homme dans la file d'attente d'une agence de la Banque nationale grecque (BnG).
- Présence policière -
A Thessalonique, la deuxième ville du pays, près de 200 retraités patientaient aussi devant une succursale de la BnG, la première banque grecque.
"Ce pays me fait honte. Ils sont tous coupables, (l'ancien Premier ministre de droite) Samaras, comme Tsipras (actuel Premier ministre, gauche radicale)", enrage un retraité de 80 ans.
Dans les agences bancaires ouvertes, les retraités sont reçus par ordre alphabétique ou en fonction de leur heure d'arrivée. Ils doivent présenter leur numéro de compte et une carte d'identité.
A proximité, des policiers veillent à ce que tout se passe bien. La nervosité et l'exaspération sont palpables. "Comme vous pouvez le voir, nous avons beaucoup de chance", ironise une dame près d'une succursale d'Alpha bank, en face de l'université d'Athènes. "Qu'ils aillent au diable!" s'emporte un autre en sortant.
D'autres clients, qui ne sont pas retraités mais n'ont pas non plus de carte bancaire, essayent de négocier l'accès à l'argent de leur compte. Mais le "non" des employés de la banque est catégorique.
En annonçant la suspension des négociations et la tenue d'un référendum sur les propositions des créanciers de la Grèce (UE, BCE, FMI), dans la nuit de vendredi à samedi, le Premier ministre Alexis Tsipras, a provoqué un "bank run", les Grecs se précipitant vers leurs banques pour retirer quelques économies. Depuis, le contrôle bancaire a été mis en place.
"Je soupçonne que les choses ne vont pas bien, quand on impose constamment des restrictions comme ça", commente Thanasis, qui a travaillé dans le bâtiment pendant 20 ans. "Que Dieu nous aide".
 
http://u.afp.com/ZJ6e AFP
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#Posté le jeudi 02 juillet 2015 03:00

Burundi: au moins six tués par balle, les résultats des élections toujours attendus - AFP

Neutralisation d'un "groupe armé" ou exécutions sommaires par la police? Les explications divergeaient mercredi sur la mort d'au moins six personnes dans un fief de l'opposition au président Pierre Nkurunziza, alors que le Burundi attend toujours le résultat d'élections controversées.Burundi: au moins six tués par balle, les résultats des élections toujours attendus - AFPLes victimes ont été tuées par balle mercredi matin dans le quartier de Cibitoke, en périphérie de la capitale Bujumbura: la police affirme avoir été engagée dans des combats avec un "groupe armé" qui ont fait un mort dans ses rangs, selon elle. Mais des témoins font état d'exécutions sommaires.
Ce nouvel incident vient un peu plus alourdir un climat délétère dans ce pays des Grands Lacs où les résultats des élections législatives et communales de lundi, boycottées par l'opposition, étaient toujours attendus.
Selon la police, l'incident a commencé mercredi matin par l'explosion d'une grenade, lancée contre des policiers qui patrouillaient dans le quartier de Cibitoke, foyer des manifestations déclenchées fin avril par la candidature du président Pierre Nkurunziza à un troisième mandat à la présidentielle prévue le 15 juillet.
L'explosion a été immédiatement suivie d'un "ratissage" du quartier par les forces de sécurité qui se sont alors heurtées à un groupe "lourdement armé", a-t-elle affirmé. La police a ajouté que "cinq assaillants" avaient été tués, que le groupe, selon elle composé d'opposants politiques radicalisés, avait été "neutralisé" en début d'après-midi et que des armes - fusil d'assaut, lance-roquettes RPG et grenades - avaient été saisies.
Un journaliste de l'AFP qui a pu se rendre sur place en fin d'après-midi - le quartier est longtemps resté bouclé - a vu non pas cinq mais six cadavres de civils jonchés sur le sol. Et des témoins interrogés ont donné une toute autre version des faits, loin de la thèse du "groupe armé".
Selon eux, la police cherchait l'un des leaders des manifestations dans une maison du quartier et a demandé à ses occupants d'en sortir. Toujours d'après eux, elle leur a alors tiré dessus alors qu'ils sortaient "les bras en l'air".
Parmi les victimes, tuées de balles dans la tête, figurent un agent de change d'une soixantaine d'années plutôt connu pour ses positions pacifiques, ainsi que ses deux fils, selon le journaliste de l'AFP.
Cet incident survient alors que le pays attend d'un jour à l'autre les résultats des scrutins de lundi, boycottés par l'opposition, décriés par la communauté internationale et tenus quasiment sans aucun observateur électoral.
En raison de la grave crise politique actuelle, la communauté internationale comme l'opposition estimaient que les conditions n'étaient pas réunies pour des scrutins "crédibles".
Les élections avaient déjà donné lieu toute la semaine dernière à un regain de violences: des attaques à la grenade à Bujumbura et en province avaient fait cinq morts et des dizaines de blessés.
L'officialisation fin avril de la candidature de M. Nkurunziza a déclenché un mouvement de contestation populaire qui a été violemment réprimé par la police et donné lieu à de sanglants heurts avec les jeunes du parti au pouvoir, les "Imbonerakure" - une "milice", selon l'ONU.
Au total, les violences ont fait plus de 70 morts et plus de 140.000 Burundais ont fui dans les pays voisins. L'opposition, qui juge un troisième mandat anticonstitutionnel, a boycotté les élections après avoir, dit-elle, subi des menaces et été dans l'impossibilité de faire campagne. Elle a aussi dénoncé l'absence de pluralisme médiatique: les radios indépendantes ont été détruites lors d'un putsch manqué mi-mai, également motivé par la candidature de M. Nkurunziza.
Mardi, l'opposition a encore fustigé la "mascarade électorale", affirmé qu'elle ne reconnaîtrait ni "les résultats", ni "les institutions qui en seront issues" et demandé à la communauté internationale d'en faire autant.
Celle-ci, qui craint un retour de la violence à grande échelle dans un pays à l'histoire marquée par les massacres et une longue guerre civile (1993-2006), a elle-même dénoncé l'entêtement du pouvoir à tenir ces élections aux dates prévues.
M. Nkurunziza a répliqué en lui demandant de "respecter l'indépendance" du pays.
Mercredi, pour le 53ème anniversaire de l'indépendance du Burundi, sous tutelle belge jusqu'en 1962, le chef de l'État a assisté sous très haute protection à un défilé militaire et civil dans un stade de Bujumbura.
Dans ce défilé, soldats et policiers étaient moins nombreux que d'ordinaire, les autorités ne voulant pas toucher au dispositif sécuritaire déployé dans le pays. Signe de l'extrême tension, la tribune présidentielle était pour la première fois entourée de vitres pare-balles.
 
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#Posté le jeudi 02 juillet 2015 02:00

Pesticides et phyto passent sous la loupe de l'Agence de sécurité sanitaire - AFP

La mise sur le marché des pesticides et phytosanitaires change de mains et dépendra désormais de l'Agence de sécurité sanitaire, et non plus du ministère de l'Agriculture. Objectif: renforcer une expertise indépendante et la surveillance de l'impact des produits sur la santé et l'environnement.Pesticides et phyto passent sous la loupe de l'Agence de sécurité sanitaire - AFPLa mesure qui entre en vigueur le 2 juillet est abordée comme "une mission compliquée et un grand défi" pour l'Agence de Sécurité sanitaire (de l'alimentation, de l'environnement et du travail), tant le sujet est sensible et polémique.
C'est la loi d'avenir pour l'agriculture, adoptée en octobre 2014, qui charge ainsi sa barque. Pour y répondre, l'Anses a mis en place deux directions distinctes afin de garantir une séparation fonctionnelle entre évaluation scientifique des dossiers et délivrance des autorisations (AMM).
Jusqu'ici, l'évaluation scientifique revenait à l'Anses, l'AMM au ministère de l'Agriculture.
"Nous avons un grand défi d'indépendance qui nous est posé et une obligation de transparence", reconnaît le directeur général de l'Anses, Marc Mortureux. "Nous avons beaucoup travaillé en amont pour mettre en place cette évaluation et tenons à rendre publiques toutes nos conclusions, via le Registre des décisions".
L'agence a édicté des "lignes directrices" qui précisent les critères pris en compte pour justifier l'AMM et expliquer "comment on passe de l'évaluation à la décision" assure-t-il.
Mais le responsable réfléchit aussi à présenter, d'ici l'automne, "une charte définissant les règles du jeu" qui président à l'autorisation d'une nouvelle substance.
Un comité de déontologie, composé de huit membres totalement indépendants de l'Anses et présidé par le philosophe Pierre Le Coz, l'aide à penser les relations avec les "porteurs d'intérêt" - pour ne pas dire "lobby".
"Nous cherchons à créer les conditions d'un dialogue structuré avec tous les partenaires et à condition d'écouter tout le monde" insiste-t-il, afin d'éviter tout soupçon de collusion avec l'industrie.
L'Anses promet aussi des délais courts et de favoriser le développement des alternatives chaque fois que possible, notamment le biocontrôle (via des insectes ou d'autres végétaux).
Dans un communiqué, le ministère de l'Agriculture a rappelé mercredi qu'il gardait la main sur "la définition des risques pour l'environnement et la santé humaine" et sur "le suivi des procédures européennes".
"C'est exact, mais c'est généralement l'Agence qui lui fournit l'expertise et nous comptons être très présents au niveau européen, pour faire appliquer le cadre réglementaire et aussi pour le faire bouger" prévient M. Mortureux.
- renforcer l'étude d'impact in situ -
En 20 ans, les trois-quarts des substances qui furent autorisées ne le sont plus, ce qui suppose une réévaluation des AMM au sein de l'UE.
De même, le ministère garde la possibilité de délivrer des autorisations de mise sur le marché en urgence, pour une durée de 120 jours quand il s'agit de parer à une menace sanitaire imminente.
L'Anses est par ailleurs chargée de créer un nouveau dispositif de phytopharmacovigilance (PPV), pour surveiller l'impact des produits phytosanitaires sur l'homme - travailleurs agricoles, riverains et consommateurs - la faune, la flore et l'environnement (air et eau). Soit l'évaluation des risques en cours d'utilisation.
"Plusieurs dispositifs existent déjà, peu performants en termes de qualité et de rapidité des remontées" estime Marc Mortureux.
L'Agence a déjà été chargée par les ministères concernés (écologie et agriculture) de lancer deux expertises concernant deux types de produits particulièrement contestés, les néonicotinoïdes et le glyphosate.
Mais le directeur veut aussi conduire ses propres études de terrain, ciblées, comme celle déjà lancée sur l'effet des pesticides chez les riverains des zones agricoles. Ou l'exploitation de toutes les données disponibles concernant l'exposition des travailleurs agricoles aux pesticides, en conditions réelles d'utilisation.
Pour mener à bien ces nouveaux défis, l'Anses compte créer 35 postes dont 25 cette année et dix l'an prochain. Une quizaine de recrutements sont déjà effectifs pour la direction chargée des AMM.
Quant au dispositif de phytopharmacovigilance, il doit être financé par une taxe sur les ventes de produits phyto, payée par le vendeur, estimée à 4,2 millions d'euros par an.

http://u.afp.com/ZJ6L AFP
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#Posté le jeudi 02 juillet 2015 01:00

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